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Les constats

Me voici à la fin du mois d’octobre, celui que j’avais appelé le passage à l’action, celui qui me permettait de passer du rêve à la réalité. La première semaine, j’ai intégré une pratique plus régulière du yoga et de la méditation, je me suis fixé l’objectif d’alimenter mon blog une fois par semaine. J’ai donc coupé dans mon écoute de télévision et je me lève un peu plus tôt. Tout va bien, en général. Est-ce que je termine mes textes aussi à l’avance que je le voudrais ? NON ! Est-ce que je pratique tous les jours mes postures et mes méditations ? NON !

Le constat, c’est que je dois continuer et persévérer, mais comme il y a des bébés malades, des nuits écourtées, des devoirs à vérifier, des réunions imprévues et tout le bataclan, je me donne le droit de ne pas être aussi disciplinée que je le voudrais. Je lâche prise sur la rigidité. Par contre chaque moment où je m’installe pour alimenter mon rêve par l’écriture ou les pratiques, je les savoure et ils sont de plus en plus fréquents.

De plus, apprendre à bloguer, ce n’est pas difficile, mais il y a plusieurs informations à assimiler. Ainsi, je fais des découvertes intéressantes, j’ai envie de partager plus de choses, je découvre des sites et des personnes qui me stimulent… Et HO ! Constat… Qui me donnent la frousse. Trop de beau monde, trop de beaux sites, trop d’informations et de gens compétents… j’ai souvent envie de retourner me coucher, pour ne pas dire me cacher. Dans ces moments-là, je repense à une vidéo vue au début de mon aventure en octobre.

J’ai vu cette vidéo sur Facebook, elle a été produite par Christine Michaud. C’est celle qui m’encourage à poursuivre mon objectif lorsqu’elle nous dit de nous inspirer de la nature et qu’elle parle du gazon qui pousse malgré la multitude d’autres brins de gazon autour. Écoutez-la, vous comprendrez.

Prendre conscience de l’ampleur de la tâche qui m’attend, aller de découverte en découverte, aimer ce que j’apprends, manquer de temps pour tout intégrer, vouloir aller trop vite, être meilleure pour m’arrêter et apprécier ce que j’ai. Voilà mes constats, ce n’est que le début de l’aventure et déjà un monde de nouveautés s’ouvre à moi.

En novembre, j’affronterai mes peurs. En yoga, la peur est l’une des cinq causes de souffrance. On évite d’agir par peur, on se prive par peur, on a peur de perdre ce que l’on possède, donc on ne change rien. J’explorerai plus à fond ce thème, qui j’en suis certaine m’apportera lui aussi son lot de découvertes.

Bonne fin de mois… on se revoit en novembre !

Et ne vous gênez pas pour passer à l’action ! Demandez un appel découverte !

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